Je ne sais pourquoi, une expression idiote me trotte dans la tête depuis le réveil : Aller plus vite que la musique. Curieuse façon de dire, que je n’ai jamais comprise. Peut-être vaut-il mieux ne pas être musicien pour en faire usage.
Résultats de recherche pour : Hélène Gaudy
En partenariat avec Diacritik, la Maison des écrivains et de la littérature vous offre l’un des festivals de littérature contemporaine parmi les plus riches en un clic, en live, en restant chez vous, calé dans votre fauteuil. Crise sanitaire oblige, la nouvelle édition des Enjeux Contemporains aura lieu cette année depuis le Vieux Colombier sans public mais sera retransmis en direct sur Diacritik.
Retrouvez ici les trois captations vidéo des trois journées des Enjeux contemporains, diffusées en direct depuis le Théâtre du Vieux-Colombier Comédie-Française.
En partenariat avec Diacritik, la Maison des écrivains et de la littérature vous offre l’un des festivals de littérature contemporaine parmi les plus riches en un clic, en live, en restant chez vous, calé dans votre fauteuil. Crise sanitaire oblige, la nouvelle édition des Enjeux Contemporains aura lieu cette année depuis le Vieux Colombier sans public mais sera retransmise en direct depuis Diacritik.
Indubitablement, avec Un Monde sans rivage qui paraît ces jours-ci chez Actes Sud, Hélène Gaudy signe un des grands romans de nos années 10. Dans ce récit épique de l’expédition polaire menée en 1897 par trois Suédois, Hélène Gaudy offre un puissant roman photosensible en engageant une des plus importantes réflexions de notre temps sur le rôle des images dans nos vies.
Vous vous appelez Emmanuel Macron. Vous êtes le Président de la République française. En 2017, vous avez été élu avec 66% des voix. Ce pourcentage n’a jamais signifié une adhésion à vos idées, à votre programme. Vous avez été élu avec un tel pourcentage car vous vous présentiez contre Le Pen et que la majorité des français.e.s rejette Le Pen. Dans ces conditions, le vote important en votre faveur, les raisons de ce vote vous obligeaient à un devoir moral. La politique que vous menez depuis bientôt cinq ans crache quotidiennement sur ce devoir moral.
Du 27 février au 1er mars 2020, à la Bibliothèque publique d’information du Centre Pompidou se déroule le festival Effractions, centré sur les écritures du réel (autofictions, journalisme narratif, non fiction novels, exofictions etc.). Rencontres, ateliers, tables rondes, lectures et performances seront autant de manières d’interroger l’articulation du réel et de la littérature (récit, poésie).
Pour sa troisième édition, Jardins d’hiver est une fois encore placé sous le signe de la transmission avec Jeanne Benameur et Olivier Adam en invités d’honneur, en « écrivains-passeurs » et leurs invités respectifs Thierry Magnier et Laurent Vidal, Arnaud Cathrine et Monica Sabolo.
Rendez-vous à Rennes du 7 au 9 février pour un moment que les organisateurs veulent festif et riche d’échanges.
J’ai proposé à 52 personnes de filmer avec un smartphone pendant une minute, chacune depuis la fenêtre de son lieu de confinement, dimanche 29 mars, sur la tranche 12:00-12:53.
En résulte LE FILM DES INSTANTS : un film choral qui dit ce que chaque maillon de cette chaîne collaborative voit, à midi, à sa fenêtre.
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Il y a trois ans, à l’occasion de la parution de Grands lieux d’Hélène Gaudy, je découvrais cette collection de livres publiés dans le cadre de résidences d’auteurs du côté du lac de Grand-Lieu, au sud-ouest de Nantes – toujours en Loire Atlantique, mais non loin de la Vendée.
L’autre jour, dans le métro, un pickpocket malchanceux a dérobé dans mon sac à dos l’agenda très ordinaire où je consigne mes rendez-vous et autres obligations quotidiennes, ainsi qu’un carnet de notes. N’ayant aucune chance de les retrouver, je tente de reconstituer de mémoire ce qui s’y trouvait inscrit, ce qui me renvoie à ces heures d’été encore chaudes quand, assis face au Nord, à l’ombre des rochers en bord de mer, je lisais quelques nouveautés de la rentrée à venir, crayon et carnet en poche.
En partenariat avec Diacritik, aura lieu ce dimanche 15 septembre, à 19h, dans le cadre du Festival Extra! du Centre Pompidou, une nouvelle édition d’« Apostrophes dans ma cuisine ».
Sombre et magnétique : tels sont les mots qui viennent à l’esprit après avoir lu le premier roman d’Etienne Kern, Les Envolés qui vient de paraître chez Gallimard. Kern y brosse l’histoire de Franz Reichelt, tailleur autrichien venu vivre à Paris et qui meurt un jour de 1912 en se jetant de la tour Eiffel avec le costume-parachute de son invention. Dans une langue qui traque les fantômes, le romancier cherche à mettre en lumière tous les êtres impermanents au monde qui ont, plus largement, traversé son existence, autant d’envolés qui, tragiquement, ont franchi le pas. Diacritik ne pouvait manquer d’aller à la rencontre d’Etienne Kern le temps d’un grand entretien pour saluer l’évidente réussite de ce roman qui hante longtemps.