Les dossiers Diacritik (1) : Édouard Louis

Édouard Louis © Heike Huslage-Koch (Wikimedia)

Diacritik, c’est aussi un contre-calendrier perpétuel, nom donné par la rédaction aux dossiers centrés sur des écrivain.e.s, auteur.e.s et artistes dont nous suivons le travail, avec passion et attention. La pause estivale peut être l’occasion de les redécouvrir. Aujourd’hui Édouard Louis.
Édouard Louis a publié son premier roman, En finir avec Eddy Bellegueule (2014), avant la création de notre journal. Mais la publication d’Histoire de la violence (2016) a été l’occasion d’articuler les deux textes et de considérer l’œuvre en cours dans son ensemble, ses tropismes, ses continuités comme ses ruptures, et ce fut le cas cette année aussi avec la sortie de Qui a tué mon père. Certains de ces articles et entretiens ont été remis en ligne lors de la sortie en poche de ces livres.

Édouard Louis, Summer in New York (today, February 21) © Instagram de l’écrivain @elouis7580

Édouard Louis est de ces compagnons, au sens noble du terme, que se donne un journal, c’est le cas du nôtre, de l’ordre des affinités électives. Diacritik se veut un observatoire de la littérature au présent et en présence, un laboratoire de formes. Dans le dossier consacré à Édouard Louis, vous retrouverez :

« Sous le poids de cette histoire que je ne voulais pas être mon histoire », Christine Marcandier, 7 janvier 2016

« La littérature est un grand art de la cause », grand entretien d’Édouard Louis avec Johan Faerber autour d’Histoire de la violence, 3 février 2016

Édouard Louis ou écrire : verbe transitif, Johan Faerber, 5 janvier 2017

Échapper à la violence : Qui a tué mon père, Jean-Philippe Cazier, 8 mai 2018

Édouard Louis : écrire pour dire le(s) nom(s), Christine Marcandier, 23 mai 2018